Tahar rentre chez lui. Chemin faisant, un pneu de sa pigeot crève.
Tahar se range alors sur l'accotement, sort son cric et entreprend de
changer sa roue.
Soudain, Djamel, lui aussi dans sa pigeot, arrive à
sa hauteur et freine en catastrophe.
Il sort de sa voiture,
se dirige vers le coffre, revient avec un pied de biche, et fracasse le
pare-brise de la voiture de Tahar...
Tahar, consterné, s'écrie : Mi, kis ti fou ?
Djamel lui répond :
Toi, ti prends les roues. Moi, ji prends la radio
De là le proverbe : " Mieux vaut Tahar que Djamel "